5 clés pour révéler l’Audacieuse qui sommeille en vous

Il y a quelques années j’avais envie d’écrire un e-book à destination des femmes extraordinaires qui s’ignorent.  Cet article reprend quelques éléments de ce e-book qui n’a jamais été publié.
J’y partage 5 clés, ou disons 5 idées fortes qui m’ont personnellement aidé à cultiver l’audace dans ma vie et à ne plus jamais avoir peur de briller. 
J’espère qu’il te sera utile à toi,  merveilleuse lectrice. 🙏🏾

Clé n°1 : Vous êtes qui vous voulez. 

Comment est-ce que vous vous définissez ? Si vous deviez vous décrire en quelques mots que diriez-vous de vous-même ? Et si quelqu’un devait vous décrire, qu’aimeriez-vous qu’il/elle dise de vous ? Quel écart y a-t-il entre ce que vous dites de vous-même et ce que vous voulez que l’on dise de vous ?
Plus cet écart est grand, plus vous aller avoir du travail à faire sur vous-même.
Concrètement, travailler sur soi c’est apprendre à s’accepter tel que l’on est avant même de chercher à modifier son caractère, sa personnalité ou ses ambitions. S’accepter ce n’est pas clamer avec fierté ses défauts ou ce que l’on considère comme tels, non, c’est reconnaître que nous avons des failles, des faiblesses qui, selon le niveau d’intensité peuvent être nocifs pour nous mais aussi à ceux qui nous entourent. 
S’accepter c’est aussi sortir d’une forme de « fausse humilité » qui consiste, par peur de paraître arrogante, à ne pas parler de ses forces, de ses talents. 
Il m’a fallu des années pour accepter le fait que j’avais le droit d’être triste, faible et fatiguée. J’ai grandi dans une famille où les apparences avaient une importance capitale et donc, je devais en permanence avoir l’air heureuse. Pourtant, j’étais profondément triste. Oser me mettre en avant et valoriser mes dons était tout aussi compliquée. Être sur le devant de la scène était source de douleurs, même si je n’avais pas de difficultés à m’exprimer en public, je préférais rester cachée. 
Tout cela a changer lorsque j’ai accepté de me regarder dans le miroir (de m’affronter), que j’ai pris la décision d’être responsable de ma vie, de mes choix mais aussi de la personne que je voudrais être. 
Qui souhaitez-vous être ?

Clé n°2 : Cultivez vos passions et faites-en des compétences 

J’ai toujours été passionnée de l’humain ; j’ai étudié l’histoire puis les relations internationales par curiosité et soif de connaissance pour l’humain de manière générale. Je ne supportais pas les injustices, et je voulais sauver les gens en souffrance  (le fameux syndrome du sauveur). 
Finalement, j’ai fait de la com’ ; vous pouvez penser que cela n’a rien à voir, pourtant mes études en communication ont été comme une « plongée » dans l’humain. Parce que j’en étais passionnée, j’avais une capacité surdéveloppée d’empathie et j’étais particulièrement douée dans la vente. Sans m’en rendre compte, cette passion pour a engendrée une capacité à comprendre avec finesse le besoins des autres et donc à utiliser toutes mes compétences techniques/professionnelles dans le but d’y répondre. Evidemment, avec le marketing ou la communication on ne sauve pas des vies mais on peut améliorer grandement la vie des gens lorsqu’on travaille avec diligence et que l’on choisie avec soin son environnement de travail. 
Voyez-vous comment une passion peut vous amener à développer des compétences particulières ? 
Il y a sans doute des activités que vous appréciez, je vous invite à vous demander ce qui vous plaît vraiment dans ces activités. 
Est-ce le fait d’être en groupe ? Est-ce le fait d’être utile ? Est-ce le fait de pouvoir déverser votre créativité ? Allez au-dedans de vous-même et apprenez à développer vos compétences ; vos passions vous aideront probablement. 

Clé n°3 : Apprenez, encore et toujours…

J’ai toujours pensé que le cerveau avait une capacité infinie d’apprentissage mais en fait, j’ai récemment découvert qu’on a cette idée parce que personne n’a jamais pu aller jusqu’à la limite humaine de la capacité d’apprentissage. En gros, on parle d’infini parce que nous n’en voyons pas les limites mais en vrai, il se pourrait qu’il y en ait… Ce qui est en soi une excellente nouvelle : cela signifie donc que pour l’instant, une vie entière ne suffit pas pour aller aux limites de l’apprentissage. 
Je vous invite donc à apprendre, encore et toujours. 
Pour moi, la nature est probablement l’un des meilleurs ouvrages d’apprentissage au monde. C’est une superbe source d’inspiration. Les fourmis par exemple, malgré leur petitesse ont inspiré les scientifiques (notamment en informatique et robotique) grâce à leur génie.
Apprendre, c’est utile pour soi mais aussi pour notre relation avec les autres.
Les « idées reçues » ont la vie dure, et c’est souvent par ignorance qu’elles sont propagées et génèrent des peurs dans nos sociétés.
Apprendre sur soi et sur les autres, voilà une clé d’une grande efficacité.

Clé n°4 : Entourez-vous de personnes positives et bienveillantes… mais n’ayez pas peur des parasites !

Tout le monde veut du « bon » autour de soi, à tel point que l’on a tendance à avoir des attentes parfois trop élevés : nous espérons ne jamais être blessé par des gens proches de soi. Personne n’est infaillible. 
Ainsi, il serait peut être temps d’accepter que même nos amis les plus proches peuvent nous blesser (sans le vouloir). En revanche, nous n’avons pas à devenir des boucs-émissaires ou  « Punching-ball » au bon vouloir des autres. 
Je vous le disais plus haut, même si vous ne le savez pas ou ne l’acceptez pas, vous êtes un trésor pour l’humanité ; n’acceptez pas que l’on fasse de vous un déchet. Traitez les gens comme vous aimeriez être traités et passez votre chemin lorsque vous estimez que l’on ne vous respecte pas suffisamment. 
Comme beaucoup, j’ai côtoyé quelques personnes toxiques qui m’ont usé jusqu’à épuisement. C’est seulement lorsque je me suis retrouvée seule et les poches vides que j’ai pris conscience de la situation. Je restais car je pensais que mes belles actions allaient me rendre plus aimable (au sens littérale du terme). Mais s’il y a bien une chose que j’ai appris sur l’amour, le vrai, c’est qu’il ne devrait jamais être uniquement conditionné par nos actions. Si vous pensez qu’une personne vous aimera à cause de ce que vous faîtes, le jour où vous ne ferez plus rien, cette personne s’en ira. L’amour est portée par l’être. On aime l’être, dans son entièreté. 
Si autour de vous, vous avez des personnes qui s’accrochent à ce que vous faites pour elles, fuyez ! 
Gardez les gens qui vous aiment pour ce que vous êtes. Les parasites reviendront, vous en croiserez d’autres mais rien ne vous oblige à les fréquenter.

Clé n°5 : Soyez reconnaissante et profitez de chaque bonheur. 

La vie n’est pas parfaite, vous le saviez déjà. 
On tombe, on se relève, on marche, on tombe de nouveau mais rien ne devrait vous laisser à terre. D’ailleurs, même lorsqu’on est à terre, je crois que l’on peut lever les yeux au ciel et apprécier la couleur du ciel et le chant des oiseaux. 
Si vous prenez le temps de contempler les bonnes choses que vous avez dans votre vie, vous verrez qu’elles sont toujours plus nombreuses que les mauvaises choses qui vous arrivent… 
La vie m’a montré que même lorsque rien ne va, tant que l’on respire, il y a de l’espoir. Non, ce n’est pas une phrase toute faite sortie d’un film, c’est un constat. Chaque matin, on se réveille, on respire alors qu’on a pas fait grand chose pour cela. C’est un cadeau qui nous rappelle que tout peut encore changer.  
La vie n’est pas un long fleuve tranquille et votre vie, est probablement pleine d’embûches mais souriez car vous êtes un trésor. 
Aucun trésor ne se trouve facilement, chaque trésor doit être façonné avant d’être vu. 
Chaque trésor est taillé, et le fait qu’il y ait de la souffrance, ne signifie pas que le bout du chemin n’apporte pas la lumière.
Soyez heureuse. Appréciez chaque instant et travaillez dur. Vous allez y arrivez, n’est-ce pas ?
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